LE DOMAINE – Clos du Paradis

Clos du Paradis

Domaine d'excellence

LE CLOS DU PARADIS
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Un domaine de prestige

LE CLOS DU PARADIS

C’est l’histoire d’un rêve, né d’une promesse d’un couple tombé amoureux du territoire du Velay. Derrière chaque raisin du Clos du Paradis se cache la rencontre entre la folie d’un projet et une terre typique, travaillée, labourée, amendée pour en faire le terreau d’une vigne riche et locale. Dans le climat incertain des régions de moyenne montagne a émergé l’idée que la culture de la vigne pouvait s’allier aux aléas des fortes chaleurs comme à la rudesse des hivers vellaves.

C’est dans les terrains de basalte typiques du Velay que la vigne a pris son sens. Dans la valorisation d’un terroir, d’une région. Issu d’un savoir-faire à l’ancienne, artisanal et dans la préservation d’un patrimoine national et qui fait la fierté de chacun : le vin ! L’ADN de l’identité France, le compagnon de table des nos émotions, l’ami fidèle de nos ivresses est aujourd’hui symbole du Puy-en-Velay.

Connue pour ses monuments qui tutoient les nuages, la cité mariale Ponote* accueille un patrimoine d’un genre nouveau, dans l’art de vivre à la française. Bercée par la spiritualité qui entoure son histoire religieuse, Le Puy-en-Velay offre aujourd’hui un pèlerinage œnophile inédit qui fait partie intégrante de la photographie viticole au même titre que les appellations les plus célèbres.

Le terroir du Velay

Le bassin du Puy-en-Velay, avec ses rochers caractéristiques, est l’emblème de la Haute-Loire et révèle une géologie complexe qui se caractérise par des terres basaltiques, ponctuées d’éminences volcaniques qui ont fait jaillir des dyke uniques au monde comme en témoignent le rocher Saint-Michel d’Aiguilhe, le rocher Corneille ou le rocher de Polignac.

Un peu d'histoire ...

Espaly-Saint-Marcel a longtemps été associé à la viticulture.

En 1793, pendant la Révolution française, la commune fut rebaptisée "Raisin", en hommage à ses vignobles qui couvraient alors de nombreuses collines.

Au début du XIXᵉ siècle, pas moins de 51 hectares de vignes appartenaient à une centaine de propriétaires. Ces terres fertiles, baignées de soleil, étaient idéales pour la culture de la vigne.